Dans les entreprises suisses, en particulier les PME, un recouvrement négligent des avoirs impayés peut souvent mener à des problèmes pouvant prendre des proportions considérables.

Une étude, menée par le Dr. Heiko Bergmann de l’Université de Saint-Gall pour le compte de l’Union suisse des arts et métiers, a mis en lumière les problèmes causés aux créanciers par le retard de paiement de leurs débiteurs.

L’étude aboutit à plusieurs grandes conclusions :

  • Le retard de paiement du débiteur entraîne un effort administratif de la part de l’entreprise créancière qui se traduit principalement par une charge de travail accrue.
  • Les créanciers ont toujours du mal à faire valoir juridiquement et à recouvrer les dépenses supplémentaires causées par les payeurs en défaut.
  • En général, à la fin du processus de sommation en recouvrement judiciaire, les entreprises créancières consacrent environ 225 minutes à chaque dossier, ce qui correspond à 280.00 CHF, pour faire valoir leurs créances en recouvrement judiciaire (les coûts externes ne sont pas pris en compte).

Cette étude se fonde sur les approches en matière de recouvrement des créances par voie judiciaire habituellement observées en Suisse. Le potentiel débloqué par des solutions logicielles modernes comme tilbago, ainsi que les avantages résultant de l’application du projet e-LP (norme de données électroniques pour le recouvrement de créances), n’ont pas été pris en compte.

Cette étude a compté avec la participation de Pietro Michienzi, Directeur des questions créanciers/débiteurs au groupe AMAG. Après environ un an d’utilisation de la solution de recouvrement en ligne tilbago, voici son constat : « Grâce à tilbago, nous parvenons aujourd’hui à réaliser des économies considérables à chaque cas. Nous sommes beaucoup plus efficaces qu’avant en ce qui concerne le recouvrement judiciaire. Malgré une charge de travail diminuée, nos résultats obtenus ont été améliorés. Grâce à tilbago, les employés peuvent régler des cas de recouvrement judiciaire en Suisse sans que des compétences spéciales soient nécessaires.»

Un exemple qui prouve qu’il est l’heure de repenser notre manière de voir et d’exploiter pleinement les avantages de la digitalisation du recouvrement judiciaire. Les petites entreprises sans service de recouvrement bénéficient particulièrement de ce phénomène.

En Suisse, la législation permet aux entrepreneurs de faire valoir leurs créances de manière indépendante, ce qui explique pourquoi il n’est pas permis de répercuter les coûts des prestataires de services externes (agence de recouvrement) sur le débiteur.

Souvent, pour des raisons de commodité, les débiteurs renoncent à l’application stricte de certaines exigences dans le recouvrement judiciaire. L’expérience montre qu’une telle attitude comporte un risque de pertes supplémentaires. Dans notre monde connecté, ces agissements se propagent rapidement, et peuvent séduire des clients ne pouvant pas payer leurs factures.

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